- Groumpf a écrit:
- Le mieux, ce serait que quelqu'un m'offre un Fokker D.VII, comme ça je peux tester et valider la liste !
J'ai encore vu 2 fokker D.VII à Philibert samedi dernier.
- Groumpf a écrit:
- En fait je sais pas trop sur ce coup là. Quand on connaît un peu la technique pour les attaquer, les biplaces ne sont pas si puissants que ça, mais de tout évidence ils sont impressionnants et contraignants pour l'adversaire.
Et puis bien sûr ils ont des performances différentes, le Roland a un arc plus grand, ils ont des résistances, des vitesses et des valeurs de montée différentes.
Ils ne sont pas tous équivalents entre eux non plus.
Donc je ne sais pas, pour l'instant j'ai simplement retranscrit le post d'Andrea sans trop y toucher.
Il faudrait peut-être faire un classement par catégories pour les biplaces aussi...
J'ai bien compris que tu t'étais basé sur les références officielles, et tu as eu bien raison.
Je te donnais juste mon point de vue suite à l'expérience de mes parties, (pareil pour le SE5a). C'est le point de vue d'Andrea que je critique.
- Groumpf a écrit:
- Alors en fait j'ai voulu reprendre les pictos qui sont présents sur les cartes "descente" en utilisant des visuels de jetons, comme pour mon aide sur les manoeuvres complexes. Je craignais que ça ne soit pas clair... vais penser à revoir ça.
Alors j'ai bien fait de te poser la question, parce que tu as fait une petite méprise.
C'est deux "piqués" et non deux "plongées" (appelées aussi selon les règles descentes et descentes en piqué) que le casse cou peut faire, soit 2 manoeuvres avec un losange.
Oups ! trop tard, tu avais déjà compris.
Encore que...
Le jargon français de WOW :
piqué : toutes les manoeuvres avec losange
décrochage : uniquement la petite flèche bleue (fait partie des piqués)
plongée : la grande flèche rouge
etc.
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"Quand on met le moteur en marche, je fais un signe aux camarades...
On fait tous ça, un petit signe, je l'ai vu. La poignée de main de l'aviateur... Une manière d'au revoir...
Mais ils ne comprennent pas que je leur dis peut-être adieu."
Georges Guynemer