Le système des points de montée ne me satisfaisant pas, j'ai créé ou recréé si ça a déjà été fait un système décimal.
Explication :
Entre 2 supports d'altitude, je considère qu'il y a 10 unités d'altitude.
Les jetons "Montée" sont remplacés par des jetons "Palier" portant une valeur d'altitude. Par exemple, un Beaufighter ayant besoin de 4 pions de montée pour accéder au niveau suivant, aura 4 jetons "Paliers" avec les valeurs 3, 5, 8, 0 (unités des valeurs arrondies de 10/4×1, 10/4×2, 10/4×3, 10/4×4).
Est précisé aussi le numéro de pion rapporté au nombre de paliers entre 2 supports.
À chaque changement d'altitude, un nouveau jeton "Palier" est posé sur le socle (il remplace le précédent) et/ou 1 support est ajouté/ôté. Le jeton "0" pourrait être omis, mais il permet une bonne visibilité. L'avantage, c'est que l'altitude est immédiatement lue sur le socle (dizaine données par le nombre de supports, unités données par le jeton). Et l'on sait tout de suite quel avion est plus haut ou plus bas, même avec le même nombre de supports.
J'ai réécrit toutes les règles concernant l'altitude : tirs, DCA, montée, descente, collisions, etc. Ainsi, les manœuvres "Descente" et "Piqué" permettent de descendre entre 5 (intervalle maximal de palier des Bf.109 K, Spitfire IX et Ki-84 Hayate) et 10 unités, donc d'un support ou moins (si besoin, arrondir les unités au palier supérieur existant de l'avion).
Il faut un jeu de jetons par avion, donc beaucoup de jetons. Pour faciliter leur recherche s'ils sont tous mélangés, la couleur de leur dos diffère selon la série (à 2, 3, 4, 5, 6, 7 ou 9 jetons).
Le plus long, c'est le découpage
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Autre chose : je mets jusqu'à 5 supports d'altitude et ai fait une règle de trois entre l'altitude maximale (14 pour le P-51 Mustang et le P-47 Thunderbolt) et 5 supports. Il n'y a jamais de paliers au-delà du nombre maximal de supports. Par exemple, le Stuka et le B-25 (alt. max = 9) ne peuvent pas dépasser 3 supports.
Bon, je n'ai pas encore tout testé...