Cinq aviateurs du Cirque Volant pour enchaîner les missions à la
Waaagh Taverne le 24 fevrier.
Sulring, Wildcat, Philou, Monse, Math-PP-Boyington et son camarade Loïk.
Reconnaissance photo pour un AEG C.IV (magnifique création de l'artiste Sulring à partir d'une figurine Shapeways), biplace de reconnaissance avec une envergure faisant le double de sa longueur et une mitrailleuse arrière pouvant tirer avec un angle élargi vers l'avant sur les cibles à même altitude comme celle du Roland CII (redoutable capacité).
Édit : il semble que la mitrailleuse arrière AEG C.IV ait un arc de tir classique et ne puisse pas tirer vers l'avant.
Il y a au moins quatre tirs avant de cette mitrailleuse arrière qui n'auraient pas dû avoir lieu, tous contre le Spad jaune français.
La partie se serait probablement terminée d'une manière différente.
Face aux Spad VII US de Wildcat et français de Sulring, l'AEG commandé par Monse va suivre la périphérie de la carte en subissant : blessure du pilote (4 phases pour désenrayer), enrayage de la mitrailleuse avant (privant le Spad US de plusieurs cartes dégâts !) mais en infligeant fumée et feu au français.
Erreur tactique commise par l'allemand (2e, 3e et 4e photo ci-dessous) : après un second tir arrière sur le Spad VII français, l'observateur fait le choix de tirer à courte portée sur le Spad US (2 cartes de dégâts) plutôt que renouveler son tir sur le français à longue portée (qui aurait entraîné un dégât additionnel +1), d'autant plus que sur le 3e mouvement il n'a plus que le français dans son arc de tir (d'où un potentiel dégât additionnel +1).
Après le survol de la cible (le château fort) à moins d'une demi réglette avec une carte décrochage pour prendre la photo, l'AEG revient vers ses 2 adversaires et les envoie au tapis, grâce aux tirs meurtriers de sa mitrailleuse arrière combinés à l'arme avant (voir dernière photo).
Autre erreur de l'allemand (mais sans conséquence sur cette partie, contrairement à une partie suivante) : avoir longé le bord du tapis pendant une dizaine de mouvements, avec le risque de subir un palonnier bloqué du côté opposé au bord et sans possibilité de pouvoir faire d'Immelman comme un chasseur pour éviter une sortie de tapis.
Mission de destruction de ballon pour un Siemens Schuckert D.III de 1918 équipé de vieilles fusées Leprieur et confié à Wildcat, dont c'est le 2e vol avec formation accélérée pour expliquer le tir de fusées.
Le ballon est défendu par Philou sur un Nieuport 11 périmé (le Nieuport, pas Philou) et par une paire de DCA commandé par Monse qui inflige un dégât pendant l'approche du Siemens : le tir de fusées est donc impossible et la manoeuvre d'approche pour le tir doit être renouvelée.
Le ballon poursuit inexorablement sa descente et le Siemens tente un nouveau tir de fusées qui manque de peu la cible juste avant qu'elle n'atteigne le sol. Wildcat se console en abattant le fragile Nieuport qui aura malgré tout eu l'audace d'enflammer l'allemand.
(Peu de photos de cette partie, l'observateur photographique étant en pleine présentation du jeu à un Waaaghien de passage à la table).
Un Dogfight WW2 s'est déroulé en parallèle entre avions de l'Axe menés par Loïk (Me.109 et Zero) face aux avions alliés de Math (Spitfire et Wildcat -> l'avion, pas le joueur), qui s'achève par un unique aviateur survivant allemand.
Mission de bombardement d'une usine de production d'ours en peluche (en vue de baisser le moral des familles allemandes) pour un Handley-Page piloté par Monse, face à une meute de chasseurs allemands Fokker E.V (Wildcat), Siemens Schuckert D.III (Loïk), Phönix D.I (Philou) et un Sopwith Snipe bolchevique rénégat (Math), sans oublier 2 postes de DCA (programmé par Philou).
La partie la plus courte de l'histoire WOG :
Apres quelques actions des mitrailleurs du HP sur les chasseurs, le Handley-Page manoeuvre pour éviter la DCA en vue de contourner la cible par l'arrière, ce qui n'empêche pas le chevauchement d'un pion de DCA (dégât 0).
Le Fokker E.V de Wildcat effectue l'unique tir visant le bombardier, le privant de manoeuvres à droite alors qu'il longe le bord gauche du tapis et mettant fin à la partie : sortie du jeu 3 mouvements plus tard avec une cargaison intacte de bombes. Boum ...
Analyse tactique de fin de mission très pertinente de la part de Loïk :
- avec 30 points de structure, le bombardier ne se préoccupe pas de la DCA et se concentre sur la trajectoire vers la cible.
- Avec 4 chasseurs équipés de mitrailleuses jumelées face aux 2 mitrailleuses simples du HP, on fonce dans le tas en évitant les collisions et sans s'éloigner de l'adversaire.
Mission de bombardement pour un Albatros C.III biplace ottoman (Monse) escorté par un Phönix D.I (Wildcat) face à un Sopwith 1/2 Strutter biplace français (Philou) pouvant effectuer des Immelman, capacité mise à profit par Philou pour harceler ses deux adversaires tout au long de la partie.
Premier largage de bombes complètement raté par Monse, qui a annoncé le bombardement juste avant de baisser d'un niveau d'altitude : les bombes tombent bien avant la cible (piscine de la princesse locale sur la partie supérieure centrale de la première photo).
Le Strutter effectue une manoeuvre audacieuse en effectuant trois virages pour repartir en sens inverse, dans l'angle à proximité du bord de tapis. Maîtrise totale de la manœuvrabilité par Philou qui abat le Phönix en sortie de virage.
La seconde charge de bombes de l'Albatros manque de peu le centre de la cible (détruite à 50%) et le mitrailleur arrière achève la mission avec une rafale (dégât 3).
Deux échanges de tirs entre biplaces entraînent un panache de fumée sur les appareils, le Strutter encaissant quelques points de dégât fatals.
Bilan : les 2 avions de l'Alliance ont reçu le même nombre de cartes dégât B (7 chacun mais le Phönix a subi 3 fois plus de points de dégât).
Le Strutter tirant avec 2 mitrailleuses simples (face à 2 mitrailleuses jumelées et 2 mitrailleuses simples) a reçu seulement 9 cartes de dégât (mais avec des points de dégât élevés) contre 14 pour les deux avions adverses, ce qui souligne l'efficacité offensive de Philou.