Pour compléter ce que tu dis, les avions en tout début du conflit n'avaient pas de mitrailleuses proprement actionnées par le pilote.
Et les victoires étaient alors partagées entre le pilote et le mitrailleur.
On parle de la victoire de Frantz et Quenault...
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"Quand on met le moteur en marche, je fais un signe aux camarades...
On fait tous ça, un petit signe, je l'ai vu. La poignée de main de l'aviateur... Une manière d'au revoir...
Mais ils ne comprennent pas que je leur dis peut-être adieu."
Georges Guynemer